S2T présent dans Le Moniteur : « S2T, l’open Ingénierie »
S2T, l’open ingénierie. Souplesse, agilité, ouverture d’esprit… L’ingénierie S2T conjugue mode collaboratif et performance. Et ça marche !
Une table de ferme trône au milieu de la pièce ; non loin, une balançoire oscille près de deux fauteuils club posés sur un épais tapis. Vous n’êtes pas dans le salon cosy d’un hôtel branché, mais dans le « work café » de S2T, à Sèvres (Hauts-de-Seine). Ne vous y trompez pas : l’ingénieriste multi spécialiste – construction tous corps d’état et infrastructures énergétiques, en AMO ou en maîtrise d’œuvre – a bien compris que l’efficacité optimale se trouvait à la jonction de l’utile et de l’agréable.
Un cercle de sages. « Notre meilleur outil, c’est la table de ferme, avance Marc Fasiolo, P-DG de S2T depuis mai dernier. Là où les distances sont plus courtes entre les gens, et où se prennent les décisions. » Tout un symbole : celui du travail collaboratif, compris ici comme un retour aux sources. « L’essence de l’ingénierie, c’est le mode projet », rappelle le centralien-architecte de 42 ans, qui a développé avec son binôme Jérôme Mathieu, 33 ans, vice-président et DG de S2T, la notion de « HubProjet ». C’est-à-dire, expliquent-ils, une conception décloisonnée répondant « à l’interdépendance des matériaux, des corps d’état techniques, de l’architecture et de l’urbanisme intelligent ». Bien que créée en 1991, S2T a tout d’une start-up. Sa nouvelle identité s’est forgée à partir de 2013, lorsque le très respecté Bernard Boyer, ancien président de Iosis (devenue Egis), « qui a vu en nous une ingénierie pas comme les autres », décide avec plusieurs amis – des professionnels avertis – d’entrer au capital de l’entreprise. Ce cercle de sages ne se contente pas d’investir, ils se posent en mentors, « des seniors techniques aidant, chacun dans son domaine de compétences, à poser les jalons nécessaires à l’accélération de notre développement », décrit Jérôme Mathieu.